Voici le récits de l' arrivé de Jorim.
Depuis 2 semaines avent le 22/11 (date prévue) j' avais des contractions, pas douloureuses mais pas ignorable aussi. Très fatiguent. En plus Jorim est déjà très bas et j' ai une ouverture de 2 cm. Mais le 22/11 vient et passe et toujours mon loulou ne vient pas agrandir notre petite famille.
La gynéaco parle d' induction, je suis contre. J' ai peur que ce sera un accouchement long et lourd; et en plus je ne veux pas faire tout le travail à l' hôpital. J' en parle donc à ma sage-femme qui me propose de lui donner un petit coup de pousse mais de façon naturelle. On commence a croire que l' accouchement se présentera pas de manière spontané, vu les médicaments que j' ai reçu en octobre pour arrêter l' accouchement.
On commence le vendredi 25/11 au soir. Je prends 3 sortes de granules homéopathique. De 2 sortes 5 granules chaque heure (donc première heure sorte 1, deuxième heure sorte 2 ect) et avent de me coucher la troisième sorte (5 aussi). Je dois continuer ceci le samedi.
On ajoute le samedi matin de l' huile de ricin. Après midi, je la prends chaque heure en combi avec de capsule de L'huile de primevère Theunis et une douche chaude.
Ça fonctionne: ver 18h j' ai des contractions assé fortes et régulières. Ma belle-mère vient prendre Tilia.
20h30: des contractions d' une minute avec une intervalle de 3 minutes. Davy appelle la sage-femme qui arrive à 21h30. 5cm. Je suis contente et décue en même temps. (Tilia est arrivée en 2 heures, la je trouve que c' est long et comme on m' avait dit que ça allait être encore plus vite j' ai l' impression que mon bébé ne viendra pas. Quel idée
) Elle reste avec moi. Ouf, car Davy s' est caché derrière son ordi. Avec Veerle a mes coté je continu mon travail à domicile sur le ballon jusqu' à 7,5cm et 1h30 du matin (le 27/11 donc).
La je décide de partir pour la maternité. Si je part pas à ce moment je sens que je ne pourrais plus partir. Davy a peur d' un accouchement à domicile, faut le respecter aussi un peu. Tout est près, sauf: Davy, qui y passe au moins 15 minutes a mettre tous (lire une valise, le sac de lange) dans la voiture, où j' attends avec mon coussin d' allaitement dans le froid. Horrible. Je lui dit de prendre mon sac a main. Oui, oui, t' occupe pas de ça. Bon, enfin on part. 15 minutes de voiture, un freinage brusque (pourquoi des seniors sont au plein milieu de la rue quand j' accouche ???) et une vilaine bosse freinage de vitesse plus tard (j' avais pourtant crié de pas passer au-dessus): l' hôpital. Davy vide le coffre de la voiture. Je m' énerve: pourquoi il m' aide pas a sortir de la voiture??? (plus tard il me dit qu' il allait encore essayer de rapprocher la voiture de l' entrée et qu' il voulait pas perdre de temps en attendent que la voie sois dégagé.)
Non, je ne veux pas allé dans cette chaise roulante, je surmonte les contractions debout. Pas moins, ils insistent, je dois m' asseoir. Votre carte SIS (un truc belge avec des infos dessus comme ma mutuelle ect) svp? Mon sac chéri? Quel sac?! aaarrrrrggggggg Bon pas grave on verra ça toute a l' heure.
Je monte en salle d' accouchement, pas prête évidament. La sage-femme de garde court pour la préparer, pour appeler le gynéaco de garde (oh non, mauvais souvenir)et moi, moi je suis content que Veerle est la avec moi. On continu a passer les contractions debout. Tout va bien. C' est quoi? oh non, foutez- moi la paix, partez avec ce truc de moniteur. Bébé va bien je vous l' assure. Allé couche toi. NON! Ça va aller, couche toi. Faut qu' on regarde l' ouverture. Bon c' accord. 9cm. Je vaux aller sous la douche (pour qu' on me foute la paix), on m' aide a descendre du lit.
Et la: trop tard, bébé vient, et bien maintenant. Idiote que je suis je me laisse recoucher sur le lit. Plus le temps de lever les jambes, bébé sort, je ne dois même pas pousser. Heureusement il y avait personne derrière quand mes eaux casse, juste avent qu' il vienne. Puis je sens bébé glisser ver l' intérieure. Je m' en souci pas, Tilia aussi elle a reglissée. Le gynéaco arrive et en quelque minutes Jorim est né. Il est 2h22.
J' arrive pas a y croire: enfin il est la. Je suis si heureuse.
Après j' apprend que la sage-femme a repoussé Jorom car le gynéaco n' était pas encre là et que à cause de ça il est resté bloqué avec son épaule derrière cet os. J' ai dit à Davy que si un jour on fait un(e) troisième j' accouche chez moi!
On me laisse a peine souffler: faut "faire le bilan des dégâts". J' en a pas. Juste une toute petite déchirure. Que bien-sure, faut coudre maintenant. Jorim n' est pas presser de téter. Mais après une heure on le stimule un peu car le placenta ne vient pas.
On pousse sur mon ventre et la enfin, un placenta intacte. Et du sans, du sans, du sans. De justesse je ne dois pas en reçevoire.
Jusque 2 jours plus tard je perd beaucoup de sans (aussi en forme de morceaux). Je reste donc a l' hôpital (moi qui voulais rentrer après 12 heures).
Autre raison pour rester: Jorim ne tête pas. Il n' arrive pas a prendre le sein et après il ne boit pas. Chaque tété est horrible, pour nous 2. Les sage-femmes nous aident, mais la nuit de mardi à mercredi je renonce a l' allaitement. Jorim a faim, est tout jaune, perd du poids trop vite et se met a pleurer encore plus fort dès qu' il voit un sein. En plus on venait de passer 24 heures a tiré du lait manuellement et avec le tire lait. Je fessais que ça et Jorim perdait encore du poids. Il a 2 bleus derrière les oreilles de la pression qu' on mettait pour le mettre au sein. Je n' en pouvais plus. Je ne voulait pas revivre toute la galère que j' ai vécu pour Tilia.
Mercredi je rentre avec un bébé qui n' a plus faim. Je vois directement que j' ai fais le bon chois. Jorim boit en petit coups, l' allaitement n' aurait jamais marché.
Tilia est toute fière. Elle adore son petit frère. Elle lui fait des bisous, des câlins, lui donne des jouets/couvertures et même son doudou et sa titi.
Mais c' est quoi avec mes enfants et la nourriture? Quelques jours plus trad je vois quelque chose qui me plaît pas du tout: Jorim vomit beaucoup et il est toujours occupé a avaler. Réflux. Je vais voire mon généralise. Tant que c' est pas sure: reste sur le lait HA. Ok. Mais ça devient sure très vite et les pleurs commence. Vite au pédiatre. Oui, c' est bien du réflux. Du lait AR. Allé, ça va aller maintenant. Mais une semaine plus tard mon tout petit a de la diarrhée verte. Et oui, allergie aux protéines de lait de vache. On change de lait: soja. Mais la faut ajouter une poudre pour grossir le lait (pour le réflux). la diarrhée continue mais elle est plus verte. Retour pédiatre: autre poudre pour grossier le lait. Maintenant ça va. Enfin.
Après on a bien rit avec le voyage ver l' hôpital. Si j' étais resté debout pour accoucher ils avaient pas pu repousser mon bébé. Rien a faire. En fin de compte, il était pas mal du tout mon accouchement.
je suis nul pour les grossesses et l' allaitement (même avec mes litres de lait), mais mes accouchement, c' est du gâteau.
Sujet: Re: cet été 
mais ça ne rentre pas dans un accouchement compliqué ou a risque .
