la vie de tous les jours...c'est dur!!

bonjour

j'ouvre ce post pour me defouler un peu!
Dernierement avec Beatrice c'est très dur. Elle se reveille plusieurs fois la nuit et souvent à 5h du matin la nuit est terminée! Ses reveils du matin commencent par des chouinements et des colères, elle se jette en arrière, tape avec les jambe et fait des bruits de colère même avant avoir ouvert les yeux : super, après un nuit pourrie, avant une journée de travail pourrie, ma fille se reveille en chouinant de 5h à 8h15 quznd je la depose chez la nounou. J'avoue que ça m'exaspère, je perd la patience et le manque de sommeil ne facilite pas les choses.
J'en ai marre d'allaiter, je n'aime pas ce principe de lui donner à manger pour qu'elle dorme, d'autant plus que ça ne marche plus forcement la nuit. En plus j'ai decouvert ce matin que j'avais du sang dans les plis de mes mamelons!! HELP!
J'en ai marre d'être tellement fatiguée le soir que je n'ai même pas envie de manger; impossible de voir un film, je dors au bout de 5 minutes, impossible d'avoir une conversation avec mon homme, ni de faire des calins, je dors avant qu'il termine de se laver les dents.
Le week end elle a un mal fou à faire la sieste, du coup je ne peux même pas profiter de 2 heures pour me poser, me faire un masque, me limer les ongles...j'ai tellement du mal avec le miroir, je me trouve tellement moche que ça me ferait du bien m'occuper de moi un petit peu!

Le soir quand je vais la chercher je passe deux heures avec elle avant que papa arrive : elle veut être dans les bras mais pas dans l'écharpe, même si juste sous les fesses pour la soutenir, une fois dans les bras elle se jette en arrière pas contente parce que elle ne peut plus jouer par terre; je la pose et elle est en colère parce que elle veut toucher l'ordi et comme ça de suite...
Bref, elle est TOUT LE TEMPS enervée et moi aussi du coup.

je me rend compte que je n'arrive pas à garder mon calme pour être à son ecoute, je vois bien qu'elle a besoin de moi d'une façon différente qu'avant, mais j'ai du mal à me relaxer pour répondre à ses nouvelles necessités.
Je me surprends souvent à penser à comme j'étais bien à 25 ans quand je pouvais changer de vie à chaque fois que je voulais, quand je pouvais partir ou rester sans penser aux consequences. Evidemment je me sens aussitôt coupable de penser des choses pareil, c'est ma fille enfin!

J'ai hate que elle apprenne au moins à dormir en peu plus...qui a la formule magique??

pas de formule magique (malheureusement) de connue par ici.
Nous avons réussi a dormir la nuit en mettent Tilia dans son propre lit d' une personne. Du coup dans l' espace d' une seule nuit on est passé de 15 à 20 réveilles à 0 réveille. On avait compris qu' il lui faut de la place. Peut-être que déplacer le lit peut aider. J' ai entendue parler de "ligne d' eaux" qui peuvent perturber le sommeil.
Les colères on les nie. En cours d' pédagogie, c' est ce qu' on m'a appris de faire. Tilia commence a en faire moins. Après une colère je la câline, car durent la colère elle se sent mal aussi. Souvent ça exprime un sentiment de non-puissance (verbale).
Je pense que si pour toi l' allaitement n' est plus un bonheur et que si ça te stresse, ce sentiment inconsciemment passe ver Béatrice. C' est peut-être bizarre comme point de vue, mais si tu "ne le sens plus" il y a pas de honte ou autre a arrêter l' allaitement.
Il y a pas très longtemps je n' arrivais plus a tenir le calme moi aussi. J' ai alors fais une chose que je n' aurais jamais pensée a faire: Tilia a passée la nuit chez mes beau-parents. Elle s' est éclatée (elle les connaît bien, les adores et en plus ils sont pro maternage) et moi, ben moi, j' ai dormis et j' ai u un peu de temps pour moi. Juste assé pour repartir dans nouveau aire calme avec elle.
J' espère que vous aussi vous trouvez "la solution" qui travaille pour vous. Jusqu'à ce moment la je vous souhaite beaucoup de courage.

Claudia, je compatis, je comprends à quel point c'est dur. Le manque de sommeil, c'est terrible, surtout quand ça s'accumule.
Là, ça fait trois semaines que je dors mal, et c'est dur. Forcément, tu as moins de patience en journée, surtout après le boulot. Ne culpabilise pas, c'est humain.
Je n'ai pas de formule magique à te donner, juste plein de pensées à t'envoyer, en espérant que tu vas trouver des solutions, pouvoir te reposer, trouver un peu de temps pour toi... Bon courage

Je vois que l'on est plusieurs à passer par cette phase de fatigue.
Ne peut tu pas la confier une journee le week end pour pouvoir te reposer.
Ici aussi on dort mieux depuis que notre fils est dans sa chambre.
Ta priorité à l'air de trouver du temps pour dormir, ton mari peut il prendre le relai ?

Pour partager encore à l'heure actuelle la chambre avec les zoulous, En effet il y a des phases plus difficiles que d'autres. Liées à quoi? Aux poussées de croissance, aux dents, à des périodes de découvertes qui peuvent occasionner des cauchemars, à l'effet "buvard" d'avec le ou les parents qui vont moins biens... Bref à un tas de choses! Surtout quand ils sont tout petit et que la communication est restreinte.

Ici, pour notre premier, lors de ces phases, nous avons fait plusieurs essais. On a en effet penser que la chambre individuelle serait la solution, mais cela n'a pas marché, on se levait tout de même et travaillant, je ne suivais pas. On a essayé moins de sieste pour voir l'impact sur les nuits, et non, tester les plantes..etc.... Des fois ça marchait, des fois non. On a manqué de sommeil, on s'est posé mille et une question, on s'est énervé parfois. J'en parlais pas mal autour de moi avec des mamans dans le même style de maternage et me rendais compte que ce n'était pas si "extraordinaire"! Puis ça passait...

Pour le deuxième. Je me pose beaucoup moins de question. C'est ainsi! On ne comprend pas toujours, on choisit d'accepter que ce soit ainsi,et ça c'est une sacrée source d'énergie d'économisée!! Vraiment. Alors beh oui, y'a des nuits c'est moins rose que d'autres...


Dans ce que tu écris, qui doit être beaucoup dicté par l'effet de la fatigue, j'y ai tout de même trouvé une autre source de réflexion (cette nuit, pendant que Colin me réveillait avec un sommeil hypra hypra agité!! )
J'ai essayé de réfléchir à ce changement que tu évoques un peu quand tu compares la vie avec un enfant et celle "d'avant" sans enfant. Bien sûr, je pense qu'on s'est toutes réfugiées dans ces pensées, quand on était au bout du rouleau!!
Je me disais que, oui, en effet, accueillir un enfant dans sa maison, ce n'est pas seulement le porter, lui donner naissance, l'allaiter, l'accompagner dans ses émotions...etc. C'est bien entendu tout ce panel d'inquiétude et heureusement de bonheur ! C'est aussi laisser un nouvel individu entrer dans son foyer. Une personne à part entière avec son caractère, sa personnalité, aussi jeune que soit l'individu! Ce n'est pas rien quand on y pense de plus près!
Le gros souci des nos petits individus, c'est leur communication restreinte, que l'on tente par plusieurs moyens de faciliter mais qui reste tout de même à enrichir pour pouvoir enfin cibler ses propres besoins et savoir les communiquer (y' a même des adultes qui ont encore des difficultés à le faire!!). Du coup cela entraine une très grande dépendance à l'adulte référent, bien souvent la mère, dans le plus jeune âge. Sacrée responsabilité pour elle! Il est sûr à 100% qu'elle ne pourra jamais tout combler!!...

Enfin bon.... Voilà, juste à quoi cela me faisait penser. Cette dépendance... Ce n'est pas toujours évident de sentir que quelqu'un est dépendant, parfois entièrement de soi. Cela peut être difficile à assumer. On n'a pas envie tous les jours! (Moi la première en ce moment!! )

Comment faire? Je ne sais pas...
Comprendre et accepter, c'est souvent un truc miracle. Mais pour cela, il s'agit d'être en forme physique et morale... Y aurait-il donc une priorité dans les besoins à combler?
Comment être en pleine forme ? Comme ça, pour ma part je dirai que cela correspond au fait de savoir s'écouter, de se connaître avec ses limites et ses besoins vitaux.
En pratique? Alors là, à chacun ses méthodes!! Elles peuvent être très diverses!! Voire opposées!

Quant à la culpabilité.... Ca c'est notre gros travail à nous les femmes!! Cette impression de n'en faire jamais assez, de devoir prouver quelque chose.... Selon certains (je pense à l'auteur Willy Maurer) C'est dès la naissance de la fille que cela lui ait bien appris....

Y'a un truc qui m'aide parfois, c'est de penser que si j'arrive de nouveau à rayonner en moi-même, ces rayons toucheront voire "contamineront" forcément mon entourage et notamment mes zoulous "buvards"!

Allez, j'arrête ma prose Ton mail m'a permis de déposer également
Bon courage Claudia!

Merci les filles, j'ai vu vos posts mais je ne trouvais pas le temps d'y répondre.
C'est vrai ce que tu dis Amélie : avoir une enfant c'est aussi laisser entrer un individu chez soi. C'est evident, mais je n'y avais jamais pensé! et en plus c'est un individu que l'on vient juste de connaitre, qui a plein d'exigences et qui ne parle pas!

Coté pratique, ici Béatrice dort dans sa chambre jusqu'au 1er reveil, en suite on l'emmene dans notre lit; si je la pose dans son lit elle se reveille et c'est pire (testé hier soir). Mon homme essaie de prendre le relai...si seulement il avait le sein! en fait c'est ça qu'elle veut, et c'est pour ça que, même si l'allaaitement et moi sommes un peu en froid en ce moment, je ne me sens pas de la sevrer. Je pense que ce serait un peu comme si je me vengeais d'elle...pas terrible quand même. En plus le sevrage de nuit c'est compliqué : je crois qu'il faudra un jour qu'on se regarde avec mon homme et qu'on sacrifie une semaine ou deux pou se dedier au sevrage de nuit! J'ai juste le lait pour deux petites tétés par jour, 1 seul sein à chaque fois, : une c'est le soir et l'autre pour le 1er reveil de nuit.

Je voudrais la confier une journée un week end, mais voilà la culpabilité : je vais reprendre le boulot à 100% à partir du 1 mars, elle sera gardée de 8h30 à 17h45 (mon chef ne pense un seul instant que je vais rester 1 minute de plus au bureau!)...c'est beaucoup!
Bon samedi prochain je la laisse à son papa et je vais à Paris pour un brunch + shopping avec une copine, ça me fera du bien! Comme quand j'étais jeune et sans cernes!

Je continue à chercher la formule magique...le truc c'est que les mois passent et son sommeil ne s'ameliore pas du tout, ni le jour ni la nuit, et parfois je me dis que je vais jamais m'en sortir!!

En tout cas, avec mon homme, nous avons déjà décidé le prenom du prochain bébé : Marmotte! avec un peu de chance....

BONNE NUIT!!!

PS Bon courage à toi Castorette, c'est une vraie galère

Mila que veux tu dire par "les colères, on les nie"??

Claudia, je te rejoins ici aussi c'est très dur, certains jours je deviens folle du manque de sommeil...

Mais je sais aussi que ma louloutte, en tant que petit mamifère, a le besoin physiologique de téter jour ET nuit...et qu'avant 3 ou 4 ans, le sommeil chez l'enfant est encore en construction...

J'essaie de relativiser ainsi!!!

Courage à toi, et essaie defaire des siestes le WE ça m'aide énormément à tenir ici!!

Bon courage Claudia !

Quand Tilia fait une colère on essaye de nommer ce qu' elle ressent (allé, ce que nous pensons qu' elle ressent). On essaye aussi de la calmer. Si elle va au point où on n' arrive plus a la calmer on essaye de juste la tenir, pour qu' elle sois réconforté. Si elle se débat, frappe, donne des coups de pieds, se jette parterre: plus rien a faire, faut que ça passe. Alors je lui dit que je l' aime beaucoup, que je la comprend, et que malheureusement je constate qu' elle a besoin d' évacuer et qu' elle peut venir me voire si elle a besoin de moi ou d' un câlin. Je reste tout pres mais je donne plus d' attention a sa crise.

Dans le cas où la colère est suite d' une interdiction de notre part (par exemple: non Tilia tu ne peux pas vider les armoires de la cuisine) on lui dit qu' elle a le droit d' être fâché et que faire une colère ne va pas changer notre avis. La on la laisse faire sa crise sans trop d' attention de notre part.

Biensure dans chaque cas on fait attention qu' elle ne se fasse pas mal.
Étonnent comme ça passe vite.

Souvent on me dit de carrément des le début de la crise faire comme si elle était pas la, mais ça je refuse. D' autre s' étonnent que je la punisse pas. Encore d' autre trouvent ça bizarre que ma fille fasse des colères: je me souviens d' une colère car elle ne voulais pas aller dans son siège de voiture sur le parking d' une grande surface. 20 minutes de hurlements. Les regards qu' on m' a envoyé ppffff. Comme si ces gens la leurs enfants non jamais fait une crise.
Le pire je trouve quand on me dit de la mettre par exemple dans le couloir ou dans sa chambre. Peut-être qu' un endroit calme peut aider des fois, mais pas pour des si petits et pas dans toute les circonstance ou pour tout les enfants.

Ça va pas du tout
C’est de pire en pire. Béatrice dort très peu et elle passe une bonne partie de la nuit à pleurer ou chouiner.
Je crois que mes nerfs vont lâcher, et mon corps aussi ! j’ai encore perdu du poids, mes cheveux tombent comme les feuilles en automne, je suis bloquée du dos et j’ai des courbatures partout comme si on m’avait frappée.
Vraiment je ne comprends pas. On essaie tout : câlins, dodo sur son papa, à coté de moi, dans le bras, biberon, berceuses….rien ne fonctionne, elle hurle et on a l’impression que tout la gène, qu’elle ne nous supporte plus… et nous alors ???

La maison est une cata, c’est le bazar, il y a des miettes partout, et je refuse de passer l’aspi pendant que je joue avec elle.
Je constate que les bons moments que nous passons ensemble ma fille et moi se réduisent à une demi-heure, ¾ heure par jour, quand je vais la chercher chez la nounou. Elle est tellement contente de me voir qu’on joue super bien, on s’amuse et on se fait des bisous baveux.
Puis il commence à être tard, il faut faire à manger, elle commence à être fatiguée et il faut qu’elle mange maxi à 19h15 sinon elle est trop crevée et elle ne gère plus rien.
Je pense que ça se passe comme ça dans la plus part des familles.

En suite nous savons que nous avons un peu de repos jusqu’à minuit, 1h maximum, heure à laquelle elle se réveille…

Alors je me dis c’est quoi ce monde de merde où on nous dit qu’il faut travailler plus pour gagner plus, mais où on nous laisse pas le temps de profiter de nos enfants, où c’est une nounou qui a vu grandir mon bébé à ma place.
Je ne travail pas plus, c’est hors de question, je le faisais avant, et voilà je n’ai pas gagné plus ! Là j’arrive à l’heure et je pars à l’heure, et je vois bien que c’est moyennement apprécié. Pas grave si je me donne à fond pendant que je suis au travail, pas de récompenses, ni morales ni économiques. Franchement, qu’ils aillent se faire fou*re !

En même temps, je vois autour de moi des mères qui passent bcp moins de temps avec leurs enfants, qui partent du bureau à 20h et qui sont en déplacement deux semaines par mois, qui tapent leur enfant d’un an sur les mains parce que il se salit pendant qu’il mange et qui ont gardé leur bébé dans las bras juste le temps d’un bib et puis dans la nacelle….et ces enfants là font leurs nuits de 12 heures et font la sieste sans problèmes !

Pourquoi ? C’est ça le souvenir que j’aurais de la première année de mon bébé ?

Et surtout je me demande : quand elle fera ses nuits ? que fera-t-il qu’elle décide de dormir ?

C’est moche, mais j’avoue que ce matin je n’étais pas contente auprès d’elle, j’avais qu’une envie, qu’elle aille vite chez la nounou et qu’elle me laisse tranquille. Et je n’ai pas envie que ce soir arrive, pour tout recommencer une nouvelle fois. Je n’ai pas envie que le week end arrive, pour lutter sans succès de 13h à 16h pour qu’elle fasse une sieste.

Allez, j’arrête de faire mon Calimero, désolée ! Mais en plus d’être fatiguée et énervée je suis un peu triste aujourd’hui !

Oh Claudia!
Comme ton message me touche!
Vas-y décharge, décharge! Tout comme ta fille, tu sembles en avoir tant besoin!

Ca a l'air difficile hein cette première année de "bébé". SI loin de tout ce qu'on voudrait nous faire croire, au travers de ces expressions toutes faites "faire ses nuits", "journées rythmées", pleurs expliqués...
Tellement d'inconnus rodent autour de nos chères petites têtes blondes qui mettent sans le savoir nos nerfs à l'épreuve. Tant qu'on n'a pas trouvé cette clé si chère non pas pour résoudre les soucis mais pour comprendre la situation, nous sommes si fragiles et la merci de tout... Mais cette clé, j'ai envie de dire que nous ne la trouvons même pas toujours. Que le temps passe, passe très vite, voilà ce qu'on en vient à souhaiter alors pour fuir et passer à l'étape d'après...

Mais chaque étape a sa signification. Elle n'apparaît rarement au moment souhaité, mais on la comprend "juste après". Cela devient si simple alors de dire, "beh oui...". En attendant, c'est difficile, on souffre on cherche, on ne trouve pas, on subit et on perd confiance ou racine.

Alors, oui , vient décharger ici! Ne te perds pas! C'est difficile, les mamans d'ici ne le savent que trop bien. Nos bébés sont différents mais si ce n'est pas sous le clair de lune que l'on perd espoir, c'est à un autre moment de la journée, ou face à un autre comportement de nos cherubins. Ces moments existent pour tous à tout moment pour qui sait y faire attention et les accueillir. Car oui,, s'ils se produisent c'est aussi parce que nous les acceptons, sans les comprendre (ce qui nous rend mal), mais à qui nous ouvrons la porte pour le bien être de nos enfants.

A présent, pour en revenir concrétement à ta situation. l semble que tu vois déjà un pannel de profesionnels divers qui peuvent rencontrer ton enfant et avoir une vue d'ensemble, non? Je pense aux naturopathes, ostéopathes, homéopathes, kinésiologues, spécialistes en fleur de bach, aromathérapie etc etc... J'aurais une préférence pour le naturopathe dans un premier temps... Un allergologue ou kinésiologue comme celui que voit Gla10 également, ainsi que l'ostéo. Je trouve que ce sont des professions qui bien exercées ont une bonne vue d'ensemble.
Car il s'agit de déterminer, si tu as besoin de savoir la cause de ces pleurs, de savoir si douleur ou souffrance il y a.

Après, il peut être intéressant de laisser tout cela de côté et de trouver un moyen (à toi de voir lequel) pour observer avec beaucoup de recul la situation. Je dis beaucoup car il ne suffit pas de voir la journée, et je dirais même, pas non plus une semaine, mais plutôt le début d'histoire de puce. Essayer, et c'est bien plus simple avec quelqu'un, de faire un peu le point de son début de vécu, terrien et pourquoi in-utéro. Je ne te parle pas de psy! Non non. Si tu es à l'aise avec ces professionnels, cela peut être intéressant, mais pour ma part en ce qui concerne les tout petits et le lien mère enfant, il faut vraiment trouver la perle rare.. alors que les professionnels dont je te parlais peuvent aussi le faire. Mais c'est vrai que là, il me semble que si tu veux prendre du recul si tu as besoin de comprendre ce qui se passe, il vaut que mieux que tu te fasses accompagner de quelqu'un de confiance. Seule, je pense que tu dois te sentir bien fatiguée et dépassée pour le faire.

Ce qui en vient à ma deuxième réflexion : j'ai envie de te dire, pourquoi ne pas prendre tout ce recul pour toi, cette réflexion sur ta vie à toi depuis sa naissance, sa conception, tout ce que cela peut faire remonter en toi comme vécu personnel, comme croyance....? Peut-être que ta petite met le doigt sur quelque chose que tu retiens en toi? Un truc auquel tu n'as peut-être jamais pensé, que tu n'as jamais dit, que tu t'es toujours empêché de vivre, sans le savoir?...
Un tas de suppositions dans le cas où ta puce n'aurait finalement pas de souci particuliers, juste une grande sensibilité et des capteurs fantastiques pour déceler quelque chose chez sa maman, mais également son papa d'ailleurs (!!) qui ne demande qu'à être vécu pour passer à autre chose?... Les enfants sont si doué quand on leur préserve leur sensibilité pour découvrir et nous faire avancer de la sorte...

Dans tous les cas, si les rencontres entre mamans, si des moments pour toi (soin, repos), si le relais au papa ne suffisent plus, et si tu ne l'as pas déjà fait, j'aimerais te conseiller de t'appuyer sur un professionnel (car si le vécu est très riche, la théorie peut aider également), une personne de confiance pour poser tout ça, à plat, sur une table et regarder, donc non pas depuis hier ou le mois dernier, mais depuis le "début" (à toi de voir où il se trouve) et de le regarder avec un oeil nouveau. Cela peut être pénible, fatiguant, d'apparence inutile au début, puis cela peut se présenter comme un révélateur, et en tout cas, un recul nécessaire peut-être pour refaire vivre l'énergie que tu as en toi, bien cachée en ce moment , et retrouver tes bases, ta confiance et tes croyances.

Je suis de tout coeur avec toi, et me rends disponible si tu as besoin d'échanger (par mail, c'est plus simple pour moi).

En espérant que le soleil du jour de redonne l'énergie perdue durant l'hiver, et que ta puce en profite également!

Et puis, juste pour toi, pourrais-tu te faire une petite cure d'argile? Je ne connais que ça pour l'instant : le soir, mélanger une cuillère à café d'argile verte dans un verre d'eau et le laisser décanter la nuit; En boire le "lait" le lendemain matin à jeun, pendant 3 semaines.

Plein de pensées!

Que tu t'exprime bien Amélie!!!! (ça m'épate à chaque fois...)

C'est dingue ce que ça me parle quand tu dis que la puce met le doigt sur quelque chose d'enfoui. j'ai moi-même eu une expérience très riche il n'y a pas longtemps, j'ai "découvert" quelque chose que j'avais rejetté, et qui m'est apparu comme ça, et qui a expliqué bien des choses dans ma vie... Et depuis, Lou va mieux... coïncidence?

Claudia, si tu veux, je peux te donner les coordonnées d'une personne vraiment super, qui peut t'aider à creuser un peu le côté émotionnel de la chose. J'ai été la voir, c'est elle qui m'a permit d'y voir plus clair, d'entamer une réflexion sur ce que j'ai vécu dans mon enfance, qui a conditionné mon premier accouchement, puis qui a failli conditionner le second, et il s'est avéré que ma puce portait tout cela en elle. j'avais besoin de comprendre ça pour qu'elle aille mieux. Et oui, nos bébés sont des éponges et absorbent toutes nos émotions...
Je te souhaite beaucoup de courage, je sais à quel point ça peut être dur...

Claudia, je n'ai malheureusement pas beaucoup de temps pour te répondre...
Tout ce que tu dis me parle, comme à beaucoup j'imagine.
Je vais essayer de réfléchir à la situation, à ce que je peux répondre, et revenir vers toi.
Est-ce que tu peux m'envoyer en MP ton adresse e-mail ?
Bon courage !

Claudia, on ne se connait pas alors je vais te demander qq petites choses

est ce que tu porte en écharpe ou autres?
Est ce que vous cododotez?
Est ce que tu allaite?


Sinon de premier abord , je vois que le sommeil pose souci, notemment la sieste, as tu essayé de lâcher prise la dessus?
Je veux dire ne plus être trop caler sur telle ou telle heure pour la sieste, et ne pas te battre si elle ne veut pas dormir?


Je relève ta phrase "pour lutter sans succès de 13h à 16h pour qu’elle fasse une sieste."
que veux tu dire exactement?



Sinon pour ça
"En même temps, je vois autour de moi des mères qui passent bcp moins de temps avec leurs enfants, qui partent du bureau à 20h et qui sont en déplacement deux semaines par mois, qui tapent leur enfant d’un an sur les mains parce que il se salit pendant qu’il mange et qui ont gardé leur bébé dans las bras juste le temps d’un bib et puis dans la nacelle….et ces enfants là font leurs nuits de 12 heures et font la sieste sans problèmes ! "

ne crois tu pas que justement ces enfants sont comme ça tout simplement parce qu'ils savent désormais qu'ils ne sont pas entendus et écoutés? Qu'ils savent que leur maman n'est pas là pour eux? pas "disponible" pour eux?

courage à toi

je ne porte pas car béatrice a dès le debut refusé d'être portée, elle ne voulait pas avoir les bras coincés et elle preferait être dans les bras (bien sur) mais face au monde! elle fait des siestes avec papa dans l'écharpe
Je crois quand même que son refus vient aussi d'une insecurité que j'ai eu au moment de la porter les 1ères fois.

On cododote à mi-temps! elle s'endort dans les bras, on la pose dans son lit et au prémier reveil elle vient chez nous.
Mais même si elle passe la nuit entière avec nous ça ne l'empeche pas de se reveiller

je l'ai allaité pendant 9 mois, et je tirais mon lait au travail. après j'ai commencé à ne plus avoir envie d'allaiter, elle me faisait mal lorsqu'elle tetait et elle n'était pas contente car il n'y avait plus assez de lait pour la satisfaire.

pour la sieste, oui, j'ai commencé à lacher prise. Le problème était que le medecin haptotherapeute que l'on vois depuis ma grossesse nous a pris la tete avec cette histoire de siestes (tous les jours à la même heure, au moins 3 cycles de 3/4 d'heure de sommeil...) et pas facile quand on est fatiguée et avec plein de question de ne pas ecouter, me^me si avec 1 seul oreil..
mais maintenant je me dis que si lle ne veut pas dormir, elle dormira plus tard. ou si je peux je sors en poussette, la promenade la relaxe. Ce qui me surprend chez elle c'est que elle est fatiguée, très fatiguée, elle se frotte le yeux et tout, elle a les meilleures conditions (sieste avec maman, dans le grand lit) et elle ne dort pas!

et pour ta dernière question : oui je pense comme toi, tout à fait, mais chuis un peu jalouse quand même de toutes les mamans qui ont des bb dormeurs!

je ne comprends pas j'avais posté ça toute à l'heure et il n'apparait pas! heureusement que je l'avais ecrit sur word!

Merci merci merci !
Hier pour le première fois de ma vie, ni le soleil ni le chocolat ont su me remonter le moral.
Aujourd’hui ça va mieux, au moins le kiné m’a redressé le dos et je ne marche plus trop en canard !
La nuit a encore été difficile, Olivier a dormi sur le canapé avec Béatrice dans les bras…ça va une fois, mais ce n’est franchement pas quelque chose que je peux accepter toutes les nuits. Nous avons le droit aussi de dormir dans un lit et je pense qu’ à 10 mois elle peut « se contenter » de dormir dans notre lit !

Pour ce qui est des professionnels, j’ai consulté un naturopathe bio-magnétiseur. C’était très intéressant, et je dois y retourner (les 70 € me freinent un peu…), cette fois sans mon ‘tit singe.
Entre autres, il s’est avéré que j’ai un conflit non résolu avec ma mère qui m’empêche d’être sereine. Il aurait fallu que je fasse un travail sur moi et que pardonne ça à ma mère (qui n’est même pas au courant…), seulement voilà, j’ai un caractère assez belligérant et à chaque fois où je suis très énervée, j’ai envie de l’appeler pour tout lui balancer…bref, pas vraiment ce qu’on appelle une réconciliation ! Je pense que j’ai du taf la dessus, j’ai toujours été comme ça depuis toute petite et même s’il est impossible di modifier son caractère, on peut quand même essayer de le dompter un minimum pour vivre mieux.

C’est vrai que les enfants sont des éponges, et ça doit pas être facile avoir une maman qui port en soi des sentiments d’injustice et de rancune, même si je vous rassure, je sais être souriante et je m’estime une personne HEUREUSE !

Je vais essayer de creuser et de travailler sur moi, Castorette, je veux bien les coordonnées de la personne qui t’a aidé !

Et je vais essayer de creuser dans le très court mais intense passé de ma petite cherubine toute brune!

...en me disant que dans quelques années je vais tout oublier..
regretterai je peut être ces nuits blanches le jour où elle ne voudra plus de moi à la sortie de l'école?

biz et encore merci
cla78 je t'ai envoyé mon adresse mail !

Je pense bien à toi. Pas facile d'être une maman...
Je pense que tu as fait un grand bout de chemin en réalisant ce sur quoi tu devais travailler. Je suis persuadée que la thérapie est nécessaire à un moment ou un autre de notre vie. Je m'apprête à reprendre la mienne après 3 ans d'interruption et la relation à mes filles et leur comportement en a été le fait déclencheur.

C'est sûr qu'on se sent démuni quand on essaye d'apporter le maximum à son enfant et que rien y fait.. on voit bien que quelque chose ne va pas mais comment trouver la clé pour résoudre ce problème. Etre à l'écoute, réfléchir, continuer à vivre et à faire comme on le sent jusqu'à ce que la clé surgisse et que tout nous paraisse évident (enfin je l'espère) ?

Ne t'inquiètes pas, tu ne garderas pas comme souvenir de cette première année les moments difficiles même si on garde toujours un peu en mémoire cette fatigue physique et nerveuse qui peut nous éprouver tant. tu garderas en mémoire tous les moments magiques que Béatrice a partagé avec toi et notamment toutes les étapes importantes de son développement, pour lesquelles elle attendra probablement d'être avec toi ou son papa pour les vivre.

Juste pour en rajouter un peu une couche : je reste persuadée aussi qu'un enfant qui fait ses nuits, ses siestes et se plie à toutes les règles qu'on lui impose n'est pas nécessairement épanoui et ne fera peut être pas un adulte heureux ! Apprenons à nos enfants à ne pas agir comme des moutons et même si cela nous paraît parfois un peu difficile, félicitons-les de nous tenir tête, d'avoir leurs idées, de les défendre coûte que coûte et de nous faire comprendre qu'ils sont des individus à part entière qui ont le droit d'être entendus en tant que tels.

Bon courage, en te souhaitant rapidement ainsi qu'à toute ta petite famille un avenir plus serein

PS : je sais qu'on en a déjà parlé sur le forum mais je me permets de rappeler l'existence d'un livre qui mérite vraiment d'être lu : Au coeur des émotions de l'enfant d'isabelle Filliozat. J'essaye d'y penser chaque fois que je me heurte à des incompréhension et cela m'aide personnellement

"Apprenons à nos enfants à ne pas agir comme des moutons et même si cela nous paraît parfois un peu difficile, félicitons-les de nous tenir tête, d'avoir leurs idées, de les défendre coûte que coûte et de nous faire comprendre qu'ils sont des individus à part entière qui ont le droit d'être entendus en tant que tels".

c'est vrai que quand je vois ma fille pleurer tant qu'elle n'a pas obtenu ce qu'elle veut...et bien je suis enervee fatiguee epuisee, mais j'ai une petite pointe d'orgueil et je pense "c'est bien mon amour, c'est comme ça qu'on fait dans la vie! si on est pas contents il faut le dire et se battre jusqu'au bout avec ses propres moyens!"
mais vivement qu'elle arrête de se battre la nuit!

"ne crois tu pas que justement ces enfants sont comme ça tout simplement parce qu'ils savent désormais qu'ils ne sont pas entendus et écoutés? Qu'ils savent que leur maman n'est pas là pour eux? pas "disponible" pour eux?"

C'est un peu culpabilisant ça.
Je n'essaie absolument pas de justifier le comportement de certaines mamans, mais pourquoi ça ne serait pas du tout compatible un enfant entendu et écouté, épanoui, et une maman qui dort la nuit, qui n'allaite pas, qui ne porte pas son enfant, et qui a aussi une vie en dehors de son enfant ? en quoi la maman n'est-elle pas aussi là pour lui ? pourquoi la maman ne serait-elle pas disponible pour lui (et peut-être même plus que si elle restait à la maison avec lui) ? J'ai tendance à penser que parents épanouis = enfant épanouis, mais je suis peut-être dans l'erreur.

Je précise que je suis absolument contre la violence envers les enfants (cf. la tape sur la main), la punition, la négation des émotions, etc.

Ça me fait penser à ce billet :
http://vieuxfelin.com/2011/03/21/mauvaise-mere/
et à ce billet :
http://maxibestofmcmaman.wordpress.com/2011/04/07/le-sav-des-bebes/

et au livre Mauvaises mères : la vérité sur le premier bébé que je viens de commencer.

En fait j'avais envie de te poser les mêmes questions que celles d'Adeline, et de t'envoyer les liens vers ces deux blogs, donc autant que tout le monde en profite !

Je n'ai pas honte d'avoir été soulagée quand j'ai arrêté de tirer mon lait au travail et d'allaiter.
Je n'ai pas honte d'avoir utilisé une "méthode" conseillée par la marraine de Nils, qui est allemande, pour qu'il s'endorme plus ou moins tout seul dans son lit dans sa chambre (j'ai retrouvé mon lit ! j'ai retrouvé le sommeil ! j'ai retrouvé une vie sexuelle !), même s'il finit souvent la nuit dans le notre.
Je n'ai pas honte de ne presque plus utiliser le Bab**ook et de donner à Nils des petits pots (bio si possible).
Je n'ai pas honte d'avoir arrêté les couches lavables (j'aimerais que ses couches jetables soient plus souvent écologiques, mais c'est trop cher).
Je n'ai pas honte de sortir avec des ami(e)s en confiant Nils à son papa, mes beaux-parents, ma mère... Je n'ai pas honte non plus qu'il passe la nuit voire plusieurs "loin" de moi.
Même si parfois je me dis, comme Claudia, que c'est vraiment une vie de con que d'aller bosser au lieu de profiter de sa famille, du beau temps, de la vie... je me dis aussi qu'aller bosser, ça me change d'air et ce n'est peut-être pas plus mal (j'aime mon boulot et puis il faut bien faire bouillir la marmite).
Je n'ai pas honte qu'il aille à la crèche, même si j'ai mauvaise conscience de l'y laisser si longtemps.
Je n'ai pas honte de le laisser devant Barbapapa quand je veux consulter le forum de Maternage et Attachement à la maison.
Je n'ai pas honte de notre toute premier dîner plateau télé hier soir (devant Barbapapa bien sûr).

Tout ça ne m'empêche pas d'essayer d'être le plus possible à l'écoute de mon enfant, d'écouter ses émotions, de profiter le plus possible de lui quand je suis avec lui (plutôt que de faire des lessives pour les couches, la popotte pour éviter les petits pots, etc.).

Mon enfant reste malgré tout au centre de mes préoccupations.

Nous ne sommes pas des super mamans, nous sommes des mamans qui font ce qu'elles peuvent (et, même si je ne connais pas votre histoire qui ne me regarde pas, c'est valable pour ta mère également Claudia...).

cla78...j'aime! je regardes les blog plus tard!

Tout à fait Cla78!!
Pour ma part, ma soeur n'a pas fait de cododo, ou d'allaitement "long", elle s'est arrêtée pour ses enfants à mi-temps pour sa deuxième, pas son premier puis à temps plein pour sa troisième, là elle a repris. Elle n'a porté que sa dernière en écharpe, ses deux premiers on beaucoup connu les biberons, elle n'a jamais fait de couche lavable ou d'HNI...Etc etc. Beh je trouve qu'elle écoute intensément ses enfants! Avec ce qu'elle peut leur donner, en culpabilisant malheureusement mais en réfléchissant en tout cas à de ce qu'elle ne peut pas, mais elle fait de son mieux. Y'a des hauts des bas... Mais ses enfants ont une super maman! Qui se plie en 4 pour eux, et surtout qui les respecte en tant qu'individu.

Et oui, je trouve qu'il est très important de faire attention quand on est "à fond" dans une philosophie ou idée; C'est de même quand on est dans le social : on a tendance a pensé au bout d'un temps que certaines choses sont du B.A.ba et on s'étonne de la réaction de certains.... c'est ce qui s'appelle manquer de recul... Je trouve qu'il est très important de faire du "cas par cas" et faire attention à sses certitudes, ne pas s'assoir dessus...
Bref

Un tit truc de psy Claudia : avant de pouvoir "pardonner" à ses parents il est bon d'être en colère contre eux! Sisi! Et c'est encore mieux si cela peut se vivre, bien sûr sans dommage
Mais je maintiens : pour moi il n'y pas que la psy comme chemin intéressant...

Plein de pensées!!

Amélie

Pour ma part, une psychologue m'a beaucoup aidée et m'aide encore, même si je ne suis pas toujours sur la même longueur d'ondes qu'elle.

Moi aussi, un suivi de deux ans avec une psychologue m'a bien aidé à débroussailler :)Vraiment. C'était même vital pour que j'avance. Mais je n'aurai pas fait comme des amies, des années en plus avec le même professionnel. Je trouve intéressant quand "on le sent" de passer ensuite à des thérapies dites brèves. Ca aide à ne pas se "prendre la tête" non plus pour le moindre truc. Ca aide à positiver et à avancer. Il en existe de plusieurs sortes et souvent on en trouve une qui nous correspond...

Bon je monopolise ton post Claudia, avec peut-être du hors sujet!! J'espère que tu vas bien!

je vais mieux! mais pressee et pas le temps de répondre!
cet aprem rdv avec le naturopathe!
bonne journée de soleil et à bientôt!