Et bien moi, ça me laisse perplexe...
Mon premier ressenti :sur quoi la science veut elle encore mettre la patte?
Puis à la lecture de certains témoignages, je me dis que je n'arriverais à avoir un avis sur ce nouveau "symptôme" qu'en rencontrant des témoignages car je n'ai pas connu moi-même ces ressentis, ou du moins je ne les ai peut-être pas analysé de cette manière.
Le côté positif au fait que la science s'approprie ce terrain, c'est que cela démystifie et des femmes peuvent peut-être être ainsi mieux accompagnées. Le revers de la médaille, c'est le possible "voile" que certaines vont se mettre sur une histoire personnelle, ou autre, au nom de D-Mer. Un bon moyen d'éviter la vérité.
Néanmoins, même si je reste perplexe, je compatis vraiment pour ces femmes qui vivent cela. cela doit être très culpabilisant de ressentir cela. Si cela peut les aider...