Une nouvelle rencontre pour Février! (photos page 12)

Ca y est nous sommes rentrés de la maternité!!!
merci à toutes pour votre soutien, merci à Gla10 de m'avoir fait passer vos messages d'encouragement, qui m'ont portés. Faut que j'écrive le récit de l'accouchement dès que j'aurai un peu de temps. Tout ce que je peux dire c'est que même si ce n'était absolument pas l'accouchement dont j'avais rêvé, tout a été mis en oeuvre par deux super sages femmes pour que ce soit un accouchement le plus respectueux possible et ma puce est arrivée tout en douceur. Un moment magique, un très bel accouchement au final, beaucoup d'écoute, beaucoup de respect pour moi et pour la petite (qui est restée 2h en peau à peau avant de recevoir le minimum vital de soins: juste du collyre et de la vitamine, et c'est son papa qui l'a habillée). Je ne regrette rien, et au final, je l'ai quand même eue cette revanche sur mon premier accouchement!!!!

J'ai bien fait d'aller aux Bluets, ça aurait été très différent ailleurs dans ces circonstances (déclenchement).
Un seul bémol pour les Bluets cependant: l'accompagnement à l'allaitement de la part des puéricultrices, qui m'ont mis plus de bâtons dans les roues qu'autre chose... Heureusement, les infirmières, sages femmes, étaient super. Bon en même temps, j'ai rarement rencontré des puéricultrices vraiment bien...

En tout cas, Lou est une merveille, elle a déjà bien changé par rapport aux photos (et elle n'a plus le orange au bord de l'oeil, collyre qui avait coulé...). C'est le clone de Léo à la naissance, c'est assez frappant!
Elle n'est bien que dans les bras ou en écharpe, ne supporte pas qu'on la pose.
Léo l'a rencontré samedi, il était tout fier, en totale admiration.
Mon Léo rentre ce soir à la maison, j'ai hâte, il m'a bien manqué!!!

Bienvenues à la maison, Castorette et Lou !

Bon retour chez toi et profitez de ce début de vie à 4

Félicitations!

bien rentrée Castorette
Profite bien de tes enfants! Léo dégage une tendresse immense en regardant sa toute petite soeur!

Oui, il en est complètement gaga.
Tout à l'heure, elle a éternué, il s'est précipité pour aller chercher un mouchoir pour lui essuyer le nez!! Trop chou!
Il a passé la soirée à lui faire des bisous, à lui parler. Adorable!!!

Bon retour chez toi !!!
Je suis contente que cela ce soit bien passé au final
Ta puce est toute belle !

Pour les bluets, mon bémol aussi était plutôt le suivi sur les suites de couches et notamment les puers.. tiens, tiens !

quand j'étais enceinte et je cherchais un hopital "respecteux" pour accoucher, j'avais lu cela sur plusieurs forums concernant les bluets

Bienvenue!!!!

bon, ben je ne suis pas étonnée alors!
déjà, j'ai été étonnée le premier jour quand une puer est venue m'apporter une feuille en me disant de noter les heures des tétées

Vous avez toutes suivi mon accouchement presque en direct, mais pour les curieuses, voici mon récit:



La naissance de Lou

Jeudi 3 février 2011 :

Aujourd’hui, j’ai mon rendez-vous du 9ème mois à la maternité des Bluets à Paris.
J’ai rendez-vous à 14h20, et pour une fois, Nico décide de venir avec moi.
Nous arrivons en avance, et du coup, attendons assez longtemps, puisque la sage femme qui doit me recevoir est en retard.
Nous passons donc vers 15h.
Ma tension est prise : 16.6.
La sage femme s’inquiète de cette tension élevée. J’ai fait de la tension toute ma grossesse, mais ça n’était jamais monté au delà de 15.
Elle m’envoie donc faire un monitoring de 30 minutes + un dinamap (mesure de tension toutes les 5 minutes).
La tension reste élevée. Je comprends tout de suite ce qui va m’arriver : vu mon terme (39SA+4 jours), ils ne me laisseront pas partir. Vont-ils me donner un médicament pour faire baisser ma tension ou bien carrément me déclencher ?
Je ne m’emballe pas, mais je commence à redouter le déclenchement…
Après le monito, ils viennent m’annoncer qu’en effet, ils me gardent, pour contrôler tout ça. Pfffff, j’accuse le coup…
Ils me donnent une chambre, Nico part à la maison pour me ramener mes affaires. Entre temps, nous organisons le séjour de Léo chez ses grands-parents, heureusement les affaires sont prêtes, ils n’ont plus qu’à aller chercher Léo chez sa nounou.
On me redescend en salle de naissance pour me refaire un monito + dinamap.
Avec la contrariété, ma tension monte à 19…
On me fait une perfusion de Loxen, médicament destiné à faire baisser la tension.
Un médecin vient me voir et commence à m’expliquer que je risque de faire une pré-éclampsie et qu’il vaut donc mieux déclencher l’accouchement, pour sauvegarder la santé du bébé ainsi que la mienne. Coup de massue… Je ne voulais pas ça, je rêvais d’un accouchement 100% naturel, et là, le déclenchement, ça veut dire ocytocyne en perf, accouchement médicalisé. Je parle de tout ça au médecin, lui dis que je comprends bien, mais que je souhaite tout de même avoir un accouchement le plus naturel possible, même si il est déclenché. Elle me répond que ça va être impossible, car déjà, on va me poser rapidement la péridurale pour aider justement au déclenchement. Là, je m’effondre !!! J’ai rêvé pendant 3 ans et demi, depuis la naissance de Léo, d’un accouchement différent, sans péridurale. Je tenais tellement à gérer moi même la douleur, à être à l’écoute de mon corps, à me prouver que je pouvais le faire. Pour moi, péri, ça veut dire couchée, ne rien sentir et être passive… Ca veut dire revivre le même accouchement que pour Léo. Je craque, je me mets à pleurer, je ne veux pas. Ma tension grimpe à 21. Je me rends compte que je n’ai pas le choix. C’est terrible. J’envoie des messages à des amies proches, qui je sais m’aideront à retrouver un peu de force.
Nico revient avec mes affaires, me rassure comme il peut.
Une sage femme vient me poser un tampon destiné à faire maturer le col (qui pour le moment est encore fermé, même si raccourci). A mon stade, pour un second enfant, ça devrait mettre le travail en route rapidement.
Il est 21h.
C’est assez rapide, en effet, une heure plus tard, les contractions arrivent. Rapidement, elles deviennent douloureuses, mais très gérables. Nico note les heures à chaque fois : elles sont espacées de 6 minutes, puis de 5. Cela va durer 2 heures. Je suis allongée car j’ai la perf + le monitoring + la machine qui diffuse le loxen + le dinamap. Quand on m’enlève le dinamap et le monitoring, je peux enfin me lever et là, les contractions disparaissent d’un coup. J’en aurai quelques unes au cours de la nuit, mais très irrégulières…

Vendredi 4 février 2001 :

La nuit a été longue. Nous avons dormi un peu, moi sur la table d’accouchement, pas très confortable, Nico sur le fauteuil à côté. J’ai eu le monito et le dinamap très souvent dans la nuit.
Le jour se lève enfin. Mon col est ouvert à 2, mais je n’ai plus du tout de contractions.
La sage femme m’installe une autre machine avec une perf d’ocytocyne, pour lancer le travail une bonne fois pour toute, en me rebranchant le dinamap et le monito, pour voir si bébé supporte bien le déclenchement.
Je me retrouve donc couchée sur la table avec le monito + la machine à ocytocyne + la machine à loxen + le dinamap + le pied avec une perf d’eau glucosée. Branchée de partout, je ne peux plus bouger. Je demande à la sage femme comment je vais faire si je veux aller aux toilettes, elle me dit qu’elle m’apportera un bassin… Je lui dis que par contre, il est hors de question que je reste couchée comme ça quand les contractions vont revenir. Elle me dit qu’on n’a pas le choix, qu’elle ne peut enlever aucune machine.
Gros coup de blues encore une fois. C’est pas possible, je suis aux Bluets, j’ai choisi cette maternité exprès pour ne pas revivre mon premier accouchement, et voilà que ça prend exactement la même tournure.
Il est 9h, c’est le changement d’équipe, les sages femmes de jour arrivent.
Je rencontre les deux sages femmes qui vont s’occuper de moi toute la journée : la titulaire, Audrey, et sa stagiaire, Louise.
Ce sont elles qui vont sauver mon accouchement.
Audrey vient me voir et se présente. Elle vient de lire mon dossier, constate que je n’ai pas de chance, moi qui ai vécu un premier accouchement difficile psychologiquement.
Elle me dit de ne pas m’en faire, que je vais vivre l’accouchement que je veux, qu’elle va se débrouiller. Déjà, elle va me chercher un monitoring ambulant. Et hop, une machine de moins ! Elle se débrouille pour poser les deux machines (ocytocyne et loxen) sur un même pied, qui roule, avec la perf d’eau au dessus. Elle me débranche le dinamap et me dit qu’elle contrôlera régulièrement ma tension.
Et voilà, je peux me lever, j’ai juste mon pied à trainer, mais ça va !
Les contractions ne tardent pas. Elles font rapidement mal. Je me mets sur le ballon, j’y suis très bien. Je me répète dans ma tête « mon corps assure », et il assure. Entre les contractions, je suis bien, je replace souvent le capteur du monito, pour ne pas perdre le rythme cardiaque du bébé.
Les contractions s’amplifient, je marche un peu, je reviens sur le ballon, je m’assoie sur le bord du fauteuil avec les pieds sur un tapis assez épais, bref je gère.
Il est midi. La sage femme m’ausculte, le col est ouvert à 3 mais bébé appuie bien sa tête dessus, ça devrait aider.
Vers 13h, le col n’a toujours pas bougé. Audrey me dit qu’elle pourrait me percer la poche des eaux, sinon, ça risque vraiment de durer longtemps. Elle me prévient que ça va amplifier la douleur. J’accepte, Je sais que sans ça, ça peut durer encore des heures, et j’ai envie d’accoucher aujourd’hui, car on est le 4, et que Léo est né un 4, que ça me portera chance.
C’est très bizarre quand elle perce la poche. Ce n’est pas tant la douleur, mais l’impression que ça provoque : les larmes me montent aux yeux, mes jambes sont pleines de fourmis, je suis impressionnée par la sensation…
Je retourne sur mon ballon, mais rapidement, ça fait très très mal, je commence à avoir du mal à gérer. Audrey me propose le masque à oxygène, j’essaie, ça m’aide vraiment, mais ça me shoote, je me retrouve vite déconnectée, j’entends des voix, mais je ne perçois plus les visages, je ferme les yeux, je suis dans ma bulle et je gère comme je peux.
Là-dessus, le médecin arrive et pour je ne sais quelle raison, demande à ce qu’on me fasse une prise de sang. Audrey refuse, ça ne sert à rien, elle voit bien qu’il faut me laisser tranquille, mais le médecin insiste. L’infirmière arrive et me pique dans le bras, loupe la veine, tente dans la main, me fait atrocement mal, et finit par se faire virer par Louise et Audrey.
La douleur devient vraiment très forte, je commence à me laisser déborder, je ne gère plus.
Audrey propose de regarder si ça a avancé. Il est 15h30.
Le verdict finit de m’achever : col toujours à 3, ça n’a pas bougé du tout. Je fond en larmes, j’ai tant donné d’énergie depuis la veille au soir !!! Les 3 dernières heures ont été terribles, et tout ça pour rien. Je ne peux pas aller dans le bain à cause des machines de loxen et d’ocytocyne. Je n’ai plus la force. Audrey trouve les mots justes et me parle de péri, me dit que ça n’aura rien à voir avec celle que j’ai eue pour Léo, que je sentirai tout, que je pourrai continuer à marcher, à faire du ballon… Elle me dit qu’avec le déclenchement, j’ai déjà été très courageuse de tenir autant, que j’ai super bien géré, que je ne dois pas culpabiliser de prendre une péri. J’hésite, je voulais tant m’en passer, mais ça peut durer encore des heures et j’ai tellement mal !!!
Nico me parle, me dit que ça ira mieux, m’encourage.
La contraction suivante est tellement violente que j’ai l’impression que je vais mourir. Je ne peux plus…
Je finis par accepter la péri, que je veux dosée au minimum.
L’anesthésiste arrive, me la fait en 30 secondes. J’ai juste un peu mal pour l’anesthésie locale, et ensuite, je ne sens rien, j’ai pourtant une peur bleue de cette grande aiguille dans mon dos.
Encore une contraction très violente, puis ça se calme. Je sens les contractions, j’ai même un peu mal, mais rien à voir avec la douleur des précédentes. Je peux gérer à nouveau et surtout me détendre, recommencer à bien respirer, la douleur ne me submerge plus.
Je peux encore marcher, bouger les jambes, je sens tout comme si je n’avais pas de péri, la douleur en moins, c’est magique, et tellement différent de la péri que j’ai eue pour Léo, où j’étais complètement paralysée du ventre jusqu’aux pieds…
Je me repose, je suis exténuée après tant d’heures à essayer de gérer la douleur.
Je sens mon bébé descendre tout doucement, je sens que ça pousse à travers mon bassin.
17h30 : Audrey vient voir où ça en est. Elle me dit que je vais être déçue. Je sens que je n’en suis qu’à 4 ou 5… Et là, elle rigole et m’annonce qu’en réalité, je suis à dilatation complète !!!! Je n’en crois pas mes oreilles !!!!
Il faut attendre encore un peu, bébé n’est pas encore assez descendue. Je m’assoie en tailleur, pour l’aider.
18h20 : C’est bon, c’est l’heure : mon bébé va arriver ! J’ai envie de pleurer tellement je suis émue.
Audrey me demande comment j’ai envie d’accoucher, dans quelle position. Pas couchée sur le dos, c’est tout ce que je veux. Elle me propose de m’asseoir, et m’installe une barre pour me mettre en suspension lors des poussées. Je trouve cette position très confortable, ça me tente bien, on va essayer.
La poussée est un moment magique, contrairement à ce que j’avais ressenti lors de mon premier accouchement, où j’avais trouvé ça très violent.
Là, j’arrive à pousser sans problème, tout doucement. Je sens mon bébé avancer.
5 ou 6 poussées et Audrey me dit qu’on voit la tête. Je la touche même, c’est bizarre et tellement émouvant.
Encore quelques poussées et les épaules sortent, Louise et Audrey me disent de l’attraper, ce que je fais, je la sors de moi, et je la pose sur mon ventre. Lou est née !
Elle est si belle !!!
Elle pleure un peu, On la sèche, on lui pose une couverture chaude sur le dos, un bonnet et c’est parti pour 2h30 de peau à peau. On se découvre, on se regarde.
Moi, je n’ai qu’une petite éraillure, rien de méchant. Je profite de ce merveilleux moment avec ma Puce sur moi, elle cherche vite à téter et se débrouille comme une championne.
Plus tard, c’est son papa qui l’habillera, après avoir subi le minimum de soins (vitamines + collyre).
Ce fût un merveilleux accouchement, qui s’est déroulé dans le respect, même si ce n’était pas ce que j’avais imaginé pendant 9 mois.

Nathalie!!!
MERCI MERCI MERCI d'avoir pris le temps de mettre des mots et de partager ce merveilleux moment d'intimité!!!!

C'est superbe, les larmes me montent, je suis si heureuse pour toi!!!
Ces deux sages-femmes ont l'air de t'avoir vraiment écoutée, je suis si contente qu'elles aient croisé ton chemin!! Oh oui, que je suis contente pour toi!! Je me disais sur les photos de Lou qu'elle respirait la sérénité et j'étais surprise au vu des retours en direct de ton accouchement déclenché (d'ailleurs quel regret de ne pas avoir eu à ce moment là ton numéro de portable!!! Faut qu'on corrige cela vite:)), mais maintenant je comprends mieux : quelque soit le contexte, tu étais AVEC elle, elle a eu sa maman qui l'a accompagnée jusqu'au bout sans se faire perturber, détacher par l'environnement. C'est là le principal je pense pour Bébé : quelque soit la situation, hôpital, maison, déclenché, médical, naturel... si Maman reste connectée à son bébé, même si certaines hormones n'ont pas le temps de se créer, un autre lien imperceptible, inqualifiable scientifiquement est là si on laisse la maman vivre, continuer son lien et être AVEC son bébé tout le long de l'évènement.
Pour ma part, sois bien rassurée, ta Louloute respire tout cet Amour sur son visage, elle a pris tout le bon que tu as pu lui donner.


Merci beaucoup Nath, et belle vie à Lou!!!
Je vous embrasse bien fort!

Merci pour ces mots Amélie, c'est toi qui me fait pleurer là!
C'est clair que j'ai eu beaucoup de chances de tomber sur ces deux sages femmes, et de pouvoir vivre ce bel accouchement, qui aurait pu tourner au cauchemar avec d'autres personnes...
J'ai eu besoin de mettre des mots dessus, de garder tous les moments par écrit.
Ca me fait plaisir de partager.
Et pour le coup, je me sens mieux aussi par rapport à mon accouchement pour Léo, car j'ai pu prendre cette revanche que j'espérais tant...

C'est magnifique de te lire si heureuse de ta "revanche". Heureusement que tu étais à Villeneuve, je suis certaine que dans un autre hopital on aurait pas cherché et césa direct. Les 2 sf qui ont pris le relais ont l'air d'être extra.
Amelie a raison, c'est génial de vous sentir connectées toutes es deux.

timluck a écrit:

Heureusement que tu étais à Villeneuve,

Excellent le lapsus, Timluck
Mais oui tu iras à Villeneuve pour ton accouchement!!

Nath était aux Bluets......

amélie a écrit:

timluck a écrit:

Heureusement que tu étais à Villeneuve,

Excellent le lapsus, Timluck
Mais oui tu iras à Villeneuve pour ton accouchement!!

Nath était aux Bluets......

mdr n'importe quoi hihihi c'set parce qu avaec ma maman hier on parlait de cet hopital
Mais je ne sais pas encore si j'irai à Villeneuve, pas encore discuté de ça avec mon homme.

D'ailleurs, je pensais l'autre jour, que lorsque j ai accouché de Lisa, j'étais à Meaux (hopital de niveau 3) et ça je m en fichais en fait sauf que je me suis rendue compte il y a quelques jours que si je n'avais pas accouché là bas, j'aurai été séparée de mon bébé.
Alors forcement, même si je suis certaine que tout ce passera bien (parce que je suis de nature positive et que y a pas de raison !!! ) le fait de savoir ça ben ça me rassure. Je sais pas si je suis claire là.

Tu es très claire timluck.
L'amie qui a accouché à cinq mois et demi de grossesse vient de nous annoncer qu'elle allait avoir un deuxième enfant, et elle cherche directement un hôpital de niveau trois, car elle a été séparée de son grand prématuré à la naissance et pendant plusieurs jours.
Ce que je trouve hallucinant, c'est qu'elle a déjà appelé un hôpital de niveau trois, et ils l'ont envoyée bouler en lui disant qu'elle n'est pas dans leur secteur et qu'ils prennent plutôt les grossesses à risque...
Elle a accouché de son premier à cinq mois et demi, ça ne suffit pas ?!

Merci Castorette pour ce récit qui m'a donné les larmes aux yeux.
Encore félicitations !

Pour celles que je ne vois pas souvent, parce que je suis en admiration devant la beauté de mes enfants (en toute objectivité hein! ), j'avais envie de partager:

Lou 1 mois et demi:





Léo 3 ans et demi:

Trop chou tous les 2, gros bisous

ta poupinette est magnifique !!!!!!!!!!!!!!!!!! le grand aussi bien sur !! mais je suis fan des bébés !

des beaux enfants.

Tilia a hâte de pourvoir jouer avec Lou