Je sature

Merci à toutes pour vos messages.

Je suis d'accord avec vous pour le cadre, maintenant, je crois que je n'arrive pas à le poser...

L'autre soir, Nils a encore hurlé tout ce qu'il pouvait, m'a tapée, m'a mordue, m'a craché dessus. J'ai essayé de lui demander calmement ce qui se passait, puis calmement de se calmer dans sa chambre (bien sûr il en est sorti immédiatement), et puis la tension montant j'ai fini par lui hurler dessus aussi fort que lui, en lui demandant ce que ça lui faisait quand je faisais comme lui. Evidemment il a ouvert de grands yeux écarquillés, s'est mis à pleurer et à réclamer mes bras. Je l'ai pris dans mes bras, j'ai eu les larmes aux yeux également et je lui ai dit pourquoi j'avais hurlé.

Hier, pour passer un moment avec lui, je l'ai emmené à Disneyland Paris. Dans la queue d'une attraction, j'ai essayé, avec lui dans mon dos, de régler le Manduca pour le porter avec s'il ne voulait plus marcher. Ca a provoqué des roulades par terre, des morsures, des tapes, des cris. Je me suis contentée de lui dire non, que je n'étais pas d'accord avec les coups et les morsures, que s'il était en colère il pouvait l'exprimer autrement, d'éviter les coups et les morsures et de le prendre dans mes bras une fois le Manduca réglé et ôté. La "crise" n'a pas duré longtemps parce que je lui ai changé les idées en parlant de l'attraction à venir et je sais qu'il a fait ça parce qu'il ne voulait pas aller dans le Manduca. Pendant le reste de l'après-midi, il y a eu quelques conflits mais sans coup ni morsure, et il n'a jamais voulu aller dans mon dos mais beaucoup dans mes bras.

Nils part en vacances dix jours lundi et je reprends le travail jeudi.

Une psychologue est présente à la crèche le mardi, je pense aller la voir pour lui parler de la situation avec Nils dès mardi prochain.

je vais peut etre mettre les pieds dans le plat une fois de plus :
je trouve que Nils va bcp trop loinds son comportement avec toi !
je vois que tu as pris des résolutions ... seulement je pense que tu ne t'y tiens pas !
Tu as décidé de le punir ? oui ? ( ça ne fera pas une mauvaise mère de toi, hein !!! ) ben alors puni le 'jusqu'au bout" ....
ne le prend pas ds les bras dès qu'il pleure ! explique lui sans lui faire un calin une fois la punition donnée !
l'education non punitive marche chez les autres ? tant mieux pour eux !
Si chez toi ça ne marche pas, passe à autre chose ! nos enfants ont tous des caractères différents !
Nils a l'air "fort" alors il faut s'adapter !
je ne suis pas en train de te dire de lui mettre une fessée, loin de là !
mais déjà essaie TOI de te tenir à ce que tu dis : il est privé des dessins animés ? ben il n'en aura pas ..
ildoit aller au coin ? ben il y va et il y reste tant que tu ne lui a pas dit d'en sortir, même s'il pleure ou tape des pieds !
il faut que tu le cadres en trouvant tes propres solutions mais surtout en tenant tes décisions et en ne craquant pas à la première larme de ton fils !
pour ce qui est du papa, à mon sens, il faut qu'il soit plus présent pour l'éducation surtout si nils est infernal avec toi ?
comment se comporte Nils avec lui ? je ne veux pas te blesser mais on te sens déséspérer et j'ai envie de te "secouer un peu les puces" ( pardon pour l'expression ) afin que tu reprennes le dessus sur cette situation qui n'en finit pas de te pourrir la vie !

Bonjour à toutes,

Cela fait un bon moment que je n'ai pas eu l'occasion de poster. La reprise du travail et un bon rythme font que je me suis faite rare même si je viens régulièrement faire un petit tour en temps que lectrice !

Je reprends le clavier pour te dire, Clarisse, que je compatis vraiment à ce que tu vis en ce moment. Je trouve, d'après ce que tu nous racontes, que tu as déjà beaucoup de patience et qu'il est à mon sens inévitable de perdre pieds dans des situations comme ça (enfin, moi, en tout cas, j'ai perdu pied plus d'une fois aussi et me suis mise à hurler sur Luna...).

Je reste persuadée néanmoins que la punition n'est pas la panacée. Je peux te dire qu'avec Luna, on a passé et on passe encore des moments assez difficiles côté éducation. Chez Luna, un grain de sable peut déclencher un cataclysme. Des réactions très violentes où elle me tapait, me traitait de méchante en étant vraiment hargneuse, se retournait aussi contre sa petite soeur.
On s'est très vite aperçu que la punition - j'entends par là un isolement dans sa chambre de quelques minutes, portes ouvertes - que l'on a du pratiquer peut être 5 ou 6 fois lorsqu'elle avait , avait un effet encore plus dévastateur. Elle a ensuite développé des peurs d'être dans sa chambre, d'être seule dans une pièce.
Après des mois - voire des années - d'errance et un passage chez une maîtresse qui punissait à tour de bras et criait sur les enfants, des épisodes de pipi au lit (pour la première fois de sa vie à 4 ans et demi), des maux de ventre et une toux chronique, un début de phobie scolaire, nous avons enfin pu trouver un commencement d'explication. Luna est une enfant précoce et a beaucoup des traits que présentent la majorité de ces enfants notamment une hypersensibilité, une hypervexation, une très grosse difficulté à gérer ses émotions et le sentiment non nommé d'être différente.

Quand le diagnostic est tombé, on s'est dit... heureusement qu'on est dans l'ENV et il faut qu'on persévère dans cette voie. C'est loin d'être tous les jours facile, surtout quand on est fatigué, quand la plus petite réclame beaucoup d'attention et que la "jalousie" ou tout simplement le fait que cela soit difficile de ne plus être le seul centre d'attention de ses parents se fait sentir pour la plus grande. Dans ces moments là, on craque, on hurle sans le vouloir. C'est humain.

Mais dans les moments où l'on arrive à retrouver un équilibre, à se sentir mieux, on sait qu'on a fait le bon choix. Que la patience que l'on a déployée à répéter 20, 50, 100 fois à dire "non, je n'accepte pas que tu me tapes", "même quand on est en colère, on ne tape pas, on ne mord pas", "si tu as quelque chose à me dire, tu peux me parler, je suis là pour t'écouter". Que les limites que l'on aura ainsi réussi à poser, peut être sur une période un peu longue, parfois avec des retours en arrière, auront été posées en douceur et dans la compréhension.

On m'a parfois dit que j'étais trop laxiste avec mes filles. Dans ces cas là, je réponds que je dirai dans 15 ans si j'avais raison ou non de m'engager sur ce chemin. Je sais que j'embête aussi le corps enseignant... à la première punition, j'ai rencontré la maîtresse de ma fille pour lui expliquer en douceur que Luna n'avait pas compris pourquoi elle était puni, qu'elle n'avait pas l'habitude de cela et qu'elle l'avait très mal vécu (le visage de ma Luna le soir n'était plus du tout le même que le matin). Cela ne l'a pas empêché de continuer mais heureusement, Luna a changé de classe. Aujourd'hui, Luna va mieux, ne tape plus, a assez confiance en moi pour me confier ce qu'elle a sur le coeur. Dans les périodes où je suis calme et détendue, ça roule. Quand l'un de nous est sur les nerfs, on retombe vite dans une spirale où on ne s'écoute plus et où le malaise se fait sentir.

J'en ai écrit un peu long... c'est juste mon expérience personnelle et je ne me permettrais pas de juger qui que ce soit. Chacun, en matière d'éducation, doit agir selon son coeur et puis, on fait ce qu'on peut. Il n'y a que toi qui peut savoir ce qui est bon pour ton enfant. Je voulais juste, à travers mon témoignage, peut être te permettre de toucher du doigt que l'ENV est un long chemin à mon sens (je ne considère d'ailleurs pas y arriver puisque je crie encore et que cette violence verbale que je peux avoir parfois atteint mes filles, surtout Luna qui en est la cible). Ce n'est pas une recette miracle avec des conseils qu'il suffirait d'appliquer pour y arriver.
Bon, j'avoue que je suis tout de même fan de "J'ai tout essayé" d'I. Filliozat, que tu connais je crois. Le parcourir de nouveau régulièrement m'aide beaucoup, notamment parce que cela me permet de me mettre dans la peau de mon enfant lorsque j'ai tel ou tel comportement.

Je te souhaite plein de courage pour passer cette période difficile.
Bisous

Comme je te l'ai dit,je ne m'étendrai pas ici ce soir mais je pense bien fort à toi.
Bisous

Argh j'avais écrit un pavé et j'ai tout effacé !

Je reviendrai tout écrire, mais là faut que je fasse autre chose !

Merci ostrale, merci Cécé et merci isabelle.

Angélique, je pense que j'ai (souvent ? ) besoin qu'on me "secoue les puces". Seulement voilà, j'aimerais vraiment essayer et arriver à ne donner ni fessée ni punition à mes enfants. Mettre au coin, priver de dessins animés par exemple, sont pour moi des punitions.

Céline, ton témoignage me touche énormément et me conforte dans l'idée que cela va prendre du temps, demander de la patience mais que ça va faire son chemin et finir par porter ses fruits.

Je suis en train de relire Au coeur des émotions de l'enfant.

Enfin, quand je peux ! car par exemple, hier soir, j'ai fini, après de multipes aller-retours dans la chambre de petit bonhomme, par me coucher avec mon petit gars dans mon lit (à 23h30)... Je n'ai rien fait de toute la soirée. Je me suis un peu énervée mais je n'ai pas crié.
Si je peux, je reviendrai vous raconter ma soirée plus en détail.

Sinon, avec la convalescence d'Astrid, est-ce que c'est maintenu le 16 juin ?

Clarisse ,en dehors de ce que je te disais sur DM ,je pensais à un truc,en lisant un truc aujourd'hui:
Les crises de nils'(avec coups ,morsures...) ont l'air de correspondre plus à un comportement destructeur(enfin ,de ce qu'en dit l'auteur) qu'à de saines crises de colère.
Dans ce cas cas ,elle propose de "contenir" l'enfant avec douceur mais fermeté (en veillant à te protéger) très calmement et sans colère de ta part(pas simple,ça à mon avis)pour arrêter sa violence et déclencher une véritable crise de larmes qui lui permettrait d'évacuer sa colère et tous les sentiments douloureux sous-jacents.
Elle dit qu'il risque de trouver plein de prétextes pour que tu le laches(genre envie pipi,soif ou autre) mais qu'en tenant bon ,l'enfant va finir par pleurer réellement(parfois très longtemps)et en sortira vraiment soulagé.
Je n'ai personnellement jamais essayé mais dans ton cas peut-être serait-ce une alternative intéressante à l'isolement ou autre.
Par contre,il faut pouvoir le faire ,à mon sens ça peut être compliqué avec les deux autres à coté ,et puis il faut être zen...
Une image qui m'avait marquée à ce sujet est de s'imaginer être une couverture bien envelloppante qui l'entoureavec douceur.
Je ne sais pas si ça peut te parler.

Sinon,aussi,sans punition ne veut pas dire sans conséquence;
par exemple,il ne veut pas aller dans le manduca alors que tu ne peux pas le porter,ok il descend mais dans ce cas ,il marche,c'est SON choix,il l'assume.
Il s'agit juste que le respect de ses besoins n'aille pas en contradiction avec le respect des tiens.
Bisous

isabelle a écrit:

Dans ce cas cas ,elle propose de "contenir" l'enfant avec douceur mais fermeté (en veillant à te protéger) très calmement et sans colère de ta part(pas simple,ça à mon avis)pour arrêter sa violence et déclencher une véritable crise de larmes qui lui permettrait d'évacuer sa colère et tous les sentiments douloureux sous-jacents.
Elle dit qu'il risque de trouver plein de prétextes pour que tu le laches(genre envie pipi,soif ou autre) mais qu'en tenant bon ,l'enfant va finir par pleurer réellement(parfois très longtemps)et en sortira vraiment soulagé.

Je ne peux t'apporter aucune aide, j'ai un bébé de 8mois donc je suis encore loin des difficultés d'education mais je voudrais juste rebondir sur ce passage.
Je travaille avec des adolscents handicapés (autisme, psychose, ect...) et qui ont souvent de gros troubles du comportement, cela implique souvent de gros acces de violence. Cela peut paraitre barbare a 1ere vue de "contenir" physiquement, on pense de suite a de la contention mais en fait, il s'agit bien de contenir au sens d'aider a rassembler, au sens de ne pas laisser seul un jeune/enfant qui exprime par ces acces de violence une difficulté, un mal etre, une douleur, ect... On part du principe que si cela s'exprime de cette maniere, c'est qu'il ne sais pas l'exprimer autrement alors certes, il doit apprendre a l'exprimer de maniere plus adapté mais en attendant, on ne peux pas le laisser seul se debrouiller avec ca alors on contient, on assure qu'on est la, qu'on ne lache pas, qu'on abandonne pas meme devant la violence. On reste.
Je ne sais absolument pas si c'est une piste pour toi mais je voulais la developper, au moins pour y apporter un eclairage positif.
Bon courage

Merci isabelle et merci triton.
J'ai essayé de le contenir mais peut-être pas assez longtemps, car il hurlait "Lâche moi, mais lâche moi !".
Je vais essayer !
Merci encore !

C'est un peu dur a expliquer mais il faut etre calme, ne pas etre en colere, saturé, au bout, juste tenir avec l'idée de l'aider a contenir quelque chose qu'il n'arrive pas lui a contenir de maniere "raisonable".
Ca suppose en parralele qu'on ne fait ca que quand le jeune est debordé, qu'il n'y arrive plus tout seul. Pas a chaque debordement, pas a chaque colere, contenir physiquement alors que ce n'est pas necessaire reviendrais a dire qu'il n'a pas le droit de s'exprimer.
Le plus difficile est donc de savoir quand il faut intervenir physiquemnt en fait...

J'essaye aussi de contenir quand ça ne va pas. C'est dur... moi aussi j'ai souvent le sentiment que cela ne fonctionne pas. Persévère Clarisse !

J'ai bien pensé à toi ce soir. Soirée horrible ici avec une Luna qui est tellement malheureuse à cause des difficultés avec 2 amies qu'elle n'arrive pas à évacuer sa colère et se retourne contre moi. un gros retour en arrière mais il faut tenir bon. Au bout d'une heure passée à m'asticoter puis à me taper, je n'ai pourtant pas réussi à retenir ma main qui a atterri... sur ses fesses. Sa réaction ? "Même pas mal" Le but n'était pas de lui faire mal. Ma main est partie comme ça parce que ma tête ne trouvait plus aucune solution à mettre en oeuvre au bout d'une heure à 21h alors que Luna aurait du dormir depuis longtemps et que je suis sur les rotules après plusieurs nuits trop entrecoupées. J'avais lu que l'on tapait lorsqu'on se sentait impuissant. C'est tout à fait ça en ce qui me concerne ce soir. J'ai tenté de parler, d'écouter, de contenir puis commencé par le coussin mais cela n'a pas été suffisant. Mon mari n'étant pas là, je n'ai pas pu m'isoler pour qu'il prenne le relais.
Je m'en veux et j'en suis encore retournée mais je me dis aussi que j'ai tenu très longtemps par rapport à mon seuil de tolérance avant de craquer. Elle a poussé mes limites très loin. je ne lui en veux pas car je sais qu'elle traverse une période difficile et qu'elle est perturbée depuis quelques jours malgré toute l'aide qu'on peut lui apporter. J'espère que ce mauvais épisode va nous aider toutes deux à grandir.

J'espère que ta fin de journée aura été meilleure, Clarisse.
bisous

Céline, je pense très fort à toi.

Contenir peut en effet fonctionner avec certains enfants si c'est fait avec fermeté et douceur à la fois, dans le respect. Certains enfants ne supportent pas par contre. J'ai déjà essayé avec Léo, ça n'a pas marché.
Léo est très très difficile à suivre aussi en ce moment... Beaucoup de crises, d'émotions qui prennent de grosses proportions, de colère... C'est très dur quand on n'est pas apte à écouter ces émotions, c'est-à-dire quand on est fatigués, que notre patience est à zéro... Je remarque quand même que ce qui marche bien, c'est quand on en reparle à froid. Je lui réexplique la situation dans laquelle on était quand il a fait une crise, je lui raconte mon ressenti, lui demande ce que lui a ressenti à ce moment-là, et bien souvent, il arrive à mettre des mots dessus (bon, ok, il a 4 ans et demi, il est plus vieux que Nils). Du coup, la fois d'après, où on se retrouve dans la même situation, que je sens que la crise va partir, je lui rappelle l'épisode précédent et du coup, on essaye de trouver une solution qui nous convienne à tous les deux. Là, il me sort plein de "j'ai une bonne idée!". Ca marche de mieux en mieux. pas toujours, mais ça marche souvent.
Courage Cla

Merci Clarisse

La réunion de parents de samedi de La Cause des Enfants est annulée.

Les activités de l'association reprendront en septembre.

Merci de l'info Cla.
Perso ça m'arrange ,vu qu'on est ENCORE bloqués avec la varicelle...

Bon rétablissement à toutes et bon courage Isabelle.

merci.

je lis rapidement tout ça et je suis de tout coeur avec toi Clarisse!
C'est très compliqué à dénouer entre ce qui est de notre éducation, ce qui se fait "dans la société", ce qu'on idéalise et ENFIN ce que l'on PEUT !

Ici avec l'arrivée des jumeaux, ça a tendu l'atmosphère sur beaucoup de points. Les deux plus "grands" déversent chacun à leur manière tout ce que ça a pu chambouler. Et ca continue encore...
Notre deuxième, Colin, qui n'a que deux ans et demi de plus, montre beaucoup d'agressivité envers ses petits frères. Parfois il va faire quelque chose avec l'un (rarement les deux), mais c'est encore très très rare. Dès qu'il leur parle c'est en haussant la voix avec des interdits. Il poussait, tapait. A présent il fait encore qqs "ratés" mais arrive à me dire ce qu'il ne veut pas (que les bb soient là, qu'ils prennent tel truc...).
Son comportement est "sec", tranché. Il a besoin de beaucoup exprimé. Alors on aime ou on n'aime pas, en attendant, je me dis qu'il fait avec les outils qu'il a et qu'on lui laisse utiliser.
Il ne demande pas forcément, mais je vois combien il adore qu'on puisse le caliner "comme avant".

L'arrivée d'un petit frère, ce n'est pas rien, mais alors lorsque c'est des jumeaux!!!!! Et quand on sait combien le parent peut être complétement accaparé par deux bb, beh oui, l'enfant d'avant trinque de tout ça. Alors, on a pas le choix! On apprend, et on tente de trouver un nouvel équilibre où chacun s'y retrouve. Ca change forcément à jamais. Mais le changement peut aussi amener du bon Cela n'enlève en rien à la difficulté de le vivre, surtout pour des tits loulous.

Je dis tout ça....et encore je n'ai pas repris le travail!!!

Alors, je ne sais pas ce qu'il en est pour ton petit Nils, ce qui se passe dans sa tête. En tout cas, ça sort, et là je dis ouf! Car je préfère que les émotions sortent et vivent plutoot qu'elles gangrainent à l'intérieur. Après c'est l'apprentissage de comment on peut les sortir, les canaliser ou non, où, pendant combien de temps. Tout ceci est propre à chaque enfant, chaque parent. En fonction des disponibilités aussi.

En ce qui concerne les punitions, réprimandes, récompenses and Co, je ne m'étendrai pas sur le sujet. A chacun son truc, et pour ma part, je trouve qu'il n'y a rien à apprendre là dedans si ce n'est obéir au doigt et à l'oeil sans compréhension de la situation. Obeir à plus fort que soi....mouais...... ne plus faire parce que j'ai compris ce qui se passer quand je faisais ça, oui! mais si c'est par peur de ce qui va m'arriver, non....

je t'envoie plein de bisous!!!!!
Et en attendant les réunions d'Astrid, tu as ausssi les livres Faber et Mazlish
bisess!!!!

Ah Amélie,même si nos situations ne sont pas tout à fait identiques,j'ai souvent l'impression que tu lis dans mes pensées...
Comment ça va ,Clarisse?

juste un petit mot pour vous dire bon courage pour tous les petits soucis liées à l education, c'est pas simple ici non plus, et je ne suis pas sure de donner de bons conseils mais je vous embrasse

Merci Clarissse! A toi aussi!
Et tu sais....on a tous à apprendre... et à donner Tes expériences enrichissent d'autres personnes qui le recherche

Pas beaucoup de temps, mais ça va !
Je reviens vers vous quand j'ai un peu plus de temps.
Merci merci à toutes pour vos témoignages, encouragements, conseils...
Vous m'êtes précieuses !
A très bientôt !

courage à toi CLarisse........ le métier de parents quoi que fabuleux et vraiment dur :-)

bisous